L’odeur du café envahissait le studio, le bruit de la cafetière brisait le silence. Un jeune homme en caleçon traversa le petit salon pour se rendre jusqu’à sa cuisine communiquant avec ce salon-là. Il ouvris les tiroirs, se rendant compte qu’il serait peut être le temps de faire quelques courses … Les tiroirs se vidaient rapidement même si il était seul et le frigo commençait aussi à manquer de quelques aliments. Le jeune pris sa tasse de café chaud, y rajouta deux sucres puis marcha jusqu’à sa fenêtre-porte, ouvrant sur un balcon unique où une seule personne pouvait aller. Il y avait installé une chaise pour s’y installer le matin afin de fumer sa cigarette et de boire son café en regardant le monde extérieur. C’était l’un de ses moments préférer de sa journée, il aimait sentir les premiers rayons du soleil sur son visage et de regarder les habitants de la ville se réveiller doucement. Louka pouvait rester ainsi pendant une heure, il aimait voir des situations que lui-même ne pourrait surement jamais connaitre. Après avoir fumé et but son café, il rentra dans son studio pour prendre une douche rapide, il savait qu’il allait encore passé une journée dans sa solitude constance, parfois il aurait aimer avoir une enfance commune, que tout le monde avait connue, pour être, ne serait-ce qu’un peu, moins renfermer dans sa petite bulle.
Il ne savait jamais que faire dans ses journées, la plupart du temps  il s’installer dans son salon, la musique à fond et son cahier de dessins devant lui. Mais en ce moment, son inspiration était dans le rouge, même au niveau de son travaille il ne savait que faire. Il ouvris sont armoire pour attraper un jean bleu simple et une chemise noire tout aussi simple. Il ne s’habillait jamais de façon provocante, il était toujours le genre de gars simple, à ne jamais se faire remarquer, ne jamais rien faire pour attiré l’attention. Il soupira, voila seulement quelques jours qu’il vivait ici, et pourtant, le voila réellement seul, il est vrais que pendant son enfance il a vécu avec sa mère et son … Beau père, mais il n’avait jamais rigolé avec eux, c’était une sorte de solitude accompagné, lorsque les personnes normalement proche de vous, vous traite comme un inconnue. C’était une sorte de solitude psychique, pire que la solitude physique. Le jeune blond secoua la tête, il ne devait pas penser à ce genre de chose … Cela allait lui pourrir sa journée.

Il passa une main dans ses cheveux humides en soupirant, il se rendait compte que ça vie, depuis qu’il avait quitté la maison »familial » (se mots lui coupait la langue), était devenue monotone. Malheureusement, son ancienne vie ne lui manquait nullement, la seule personne de sa famille qui lui manquait n’était que son père qu’il n’avait pas revu depuis exactement 4 ans. Bien entendue Louka doutait que son père pensait à lui autant que lui y pensait, il ne savait même pas si son père avait tenter de le retrouver, ou au moins de l’arracher des mains de sa mère aveugle sur les actes de son beau-père. Et cela, le jeune ne savait si il pourrait le pardonner à qui que se soit. Comment pouvait-on laisser son fils avec son beau-père en sachant que celui-ci est un alcoolique violent et sans même un peu de… Comment dit-on … D’empathie ? Pour cause, sa mère avait vue son copain lancer un goulot de bouteille à son fils, le laissant alors marqué à vie de cette attaque … Comme dit plus haut, Louka ne lui avait pas pardonner et ne lui pardonneras avec beaucoup de chance, jamais. Il soupira, cela n’était pas à penser, des souvenirs aussi affreux que grotesque ne pouvait être remonté par la personne alors que le soleil brillait dans le ciel et que les oiseaux chantaient.
Le jeune blond attrapa son sac noir pour prendre ses affaires qu’il allait se servir dans la journée, à savoir : son paquet de cigarette, son portable (juste au cas où), son portefeuille et ses clés. Après cela il décida qu’il était temps de partir et qu’il devrait aussi passé au tabac, son paquet de cigarette se vidait peu à peu. Ouvrant la porte il soupira en glissant son casque sur ses oreilles. Il était désormais prés à voir le monde qui lui avait couvert de solitude affreuse, dans une ville qu’il appréciait réellement. Fermant sa porte il se rendit ensuite dans la rue dans l’espoir que quelqu’un viendrais certainement lui parlait, rallumant alors les flammes de la confiance humaine qui s’était éteint dans son cœur.

Et il n’avait pas totalement tord. Marchant dans la rue pour aller faire quelque course, il sentit quelque chose le percuter. Bien entendue son corps maigres fut légèrement projeter en avant et il tomba sur les fesses, grognant de douleur. Une voie masculine lui fit lever la tête, le coc l’avait certes un peu sonné, mais il remarqua que ses mains étaient légèrement ouverte, rien de grave puisqu’il s’était retenue avec ses mains sur le sol et qu’elles étaient donc écorchés. Se relevant, il secoua ses vêtements en soupirant, gardant les yeux baissés il attrapa son sac puis regarda le garçon qui l’avait percuté. Alors qu’il sortit un mouchoir de sa poche, Louka commença à nettoyer le peu de sang qu’il y avait dans ses mains puis haussa les épaules :


« Vous n’avait tué personne, je suis désolé, j’aurais dut regarder où j’allais. »


C’est alors qu’il se rendit compte de quelque chose, son portable et son casque avait atterrit par terre, attrapant son téléphone, Louka grogna en voyant que l’écran était fissuré (Samsung galaxie S4). Il murmura un « super » dégoutait et rangea son appareil en regardant l’homme en soupirant.