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Encore un jour qui s'annonce, cette nuit j'ai bien dormis avec laide des médicaments que mon médecin m'a prescrit. J'en ai pris qu'une fois, mais je me sens encore endormi presque et je me rends compte qu'il est temps que je dois me sortir de ce cercle infernal. C'est donc ce matin en me levant, musique dans la villa je vais dans la cuisine me préparer un petit déjeuner et ensuite je le prends doucement en regardant mon agenda et je souris un peu. Après cela je décide de faire du sport pour me réveiller et ensuite je file à la douche et j'enfile mes vêtements rapidement. Je quitte la villa à pied et me rends à mon travail.J'arrive enfin à la libraire et je vois que le livreur est déjà présent. Je souris et le salut poliment et le laisse entrer dans la libraire avec mes commandes, je suis content que mes commandes soient toutes là et qu'il ne manque rien. Je donne un pourboire au chauffeur et je commence à défaire mes cartons. Je vois des livres pour les enfants et je les range dans un carton pour enfants, ensuite des livres policier, science-fiction, histoire... Je suis très organisé dans ma librairie. Après cela je range les livres sur leurs étagères et je casse les cartons et les ranges dans un endroit pas trop loin. Une fois fini je nettoie tout pour que ce soit propre. Après cela je vais derrière le comptoir et je regarde les mails et je vois que quelqu'un veut un rendez-vous avec moi pour visiter ma librairie, je suis étonné et je l'appelle pour savoir l'objet de son mail, il m'explique et je souris et je dis que justement que j'ai des livres venant de leurs maisons d'éditions et que s'il serait possible de faire une séance de dédicaces de l'auteur du livre pour les enfants. J'ai l'accord pour la semaine prochaine et je souris en raccrochant.J'entends la clochette retentir et je vois un homme et une femme, je regarde de loin en lisant un livre, au-dessus de moi suspendu un oiseau en papier fait par mes mains et aussi d'autres choses. Je suis très doué pour l'origami pour tout dire. L'homme vient me voir et me demande si je n'ai pas tel livre, je regarde dans l'ordinateur et je vois qu'il est dans les rayons et je l'emmène au rayon et je le sors et lui donne, il est content qu'il ait trouvé le livre qu'il cherchait tellement, je pris son livre pour l'encaisser et lui conseilla un autre livre comme celui qu'il avait pris, après cela la femme arriva et je compris que c'était sa femme je souris les voyants heureux. Je les remerciai de leurs visites et les saluai comme en Corée.La clochette retentie de nouveau et je vis la petite fille de la dernière fois je souris heureux de la retrouver et je lui demandai comment elle se portait, elle me montra sur un papier une phrase et je lis et je compris qu'elle était sourde, je lui demandai de nouveau en langage des signes et elle me répondit et je l'emmenai vers le rayon et lui montra un livre et lui raconta en bref le résumer. Elle souria et je fus ravi de voir que j'avais un contact assez bon avec les enfants, elle me tendit le livre et je la regarde et je lui demande de me tenir le livre et je lis le livre et lui raconte dans la langue des signes. Elle sourit, rigole j'aime son expression sur son visage. Elle m'a donné une idée récoltée des fonds pour qu'elle puisse avoir la possibilité d'entendre comme tout le monde.
Il attrape la prunelle de ses yeux et l'embrasse longuement sur la joue, la recouchant avec lui dans les draps encore frais de la veille. Elle échappe des rires difformes mais ô combien magnifique aux oreilles de son père… Souriant, il lui caresse ses cheveux complètement lissés et ayant encore l'odeur du shampoing de la veille. Souriant, il regarde alors les mains de sa demoiselle favorite qui s'agitent frénétiquement dans les airs pour lui raconter un rêve à base licorne, fleurs et d'une armée de petits pois voraces qui voulaient dévorer les fleurs et qu'elle les protégeait avec ses chevaliers peluches. L'imagination des enfants étaient vraiment quelque chose de fascinant. Il ne regardait plus vraiment les mains d'Ellie, juste son visage tout sourire et ses yeux, pétillants de malice. Elle se roule d'un coup, se mettant à genoux et réclamant ses céréales multi-color. Il les soupçonne de ne pas vraiment être saine pour la santé, mais dès qu'elle les voit, son sourire devient immense. Alors bon. Au moins, il n'y a pas de produits animaliers dedans, c'est un bon début. Hochant la tête, il la regarde se lever en emmenant avec elle sa peluche grenouille qu'elle traîne partout depuis ses premiers jours de vie. Soupirant un peu, il se masse alors le visage et baille avant de passer une main dans ses cheveux, les mettant encore plus en bordel que d'ordinaire. Il finit par se redresser et partir s'occuper de sa princesse. La tête encore dans les vapes, il sirote son café, songeur, rêveur, admirant le beau temps. Pourtant, après les graves inondations, il n'arrive plus voir la Nouvelle Orléans que grise et dévastée. Tellement de gens ont tellement perdues. Leur jardin a été noyé, mais fort heureusement, c'est si peu. Il s'occupera de ça plus tard. Ellie arrive et lui tire la manque brutalement pour le sortir de ses pensées. Par une pirouette adroite, il évite de lui renverser son café sur la tête. Il la reprend alors, lui disant quand même comme c'est dangereux. Elle secoue son minois avant de lui réclamer d'aller acheter des livres. Haussant un sourcil, il hoche lui aussi son visage. C'est vrai qu'elle lit et colorie beaucoup, elle ne doit rien avoir de neuf depuis des semaines. Il la laisse choisir ses vêtements après une douche rapide, et lorsqu'il vient la voir et qu'il regarde les collants abeille et la robe en jeans avec les chaussures roses, il hésite un instant… avant de quand même lui mettre ça, juste parce qu'elle est heureuse et qu'il n'a pas envie de la faire rentrer dans une pseudo norme sociale. Jeans troués et t-shirt noir col en V pour lui, il se coiffe un peu après sa douche et part rapidement avec elle sur les épaules à travers la ville. Une fois devant la librairie, il la laisse rapidement entrer alors qu'il se fait alpaguer par une dame âgée qui peine à metre toutes ses courses de sa voiture. Grumpf, il n'est pas vraiment à l'aise de laisser Ellie seule, mais en restant devant, il verra bien si jamais elle sort de là seule ou accompagnée. Alors, il prend le temps de le faire, par politesse, avant de se voir glisser un billet de 10$ dans la main, qu'il refuse, mais elle insiste… Il se dit qu'il le donnera à sa fille alors. Entrant enfin, il la cherche du regard jusqu'à le voir avec celui qui semble être le libraire. Oui, c'est ça, il l'a déjà vu plusieurs fois en passant de temps en temps. « Excusez-moi. » Il offre un maigre sourire. « Merci de vous être occupé d'elle. » Il se met alors à signer avec Ellie, disant qu'elle aurait pu l'attendre et non pas importuner le gentil Monsieur. Il lui fera une leçon plus tard avant de lui donner le billet de la vieille dame, disant qu'elle peut s'acheter ce qu'il veut. Bien sûr, il rallongera ce qui manque, mais il aime bien la laisser faire des choix par elle-même et compter, comme elle peut, si avec ses « petits sous », comme elle dit, elle peut s'acheter telle ou telle chose. Heureuse, elle se met alors debout pour commencer à faire le tour des rayons pour autant, observant les livres, les couvertures, les dessins, les couleurs. « Désolé encore, et merci encore. » Il a remarqué cependant, les mains de l'homme qui signait lorsqu'il est entré. « Elle doit être heureuse de trouver quelqu'un qui la comprend. »
Dans ma simple librairie perché sur mon tabouret, la musique qui passait dans les enceintes situées à différents endroits de la librairie. J'avais fait une radio avec plein d'artiste que ce soit anglais, chinois, Coréen, Japonais, français. Pour tout dire j'avais tout regroupé et j'avais laissé choisir à ma place. Je regardais toujours mes mails et m'arrêtai pour m'occuper de la demoiselle qui était sourde et muette. J'avais envie de faire une chose nouvelle dans ma vie et j'avais appris la langue des signes. Et je connaissais tout bien l'alphabet et j'ai même chanté pour les personnes comme la demoiselle avec le langage des signes. J'entendis une voix masculine qui raisonna et je me retournai et je vis un homme qui afficha un maigre sourire, je souris également il signa avec la demoiselle et s'excusa et me remercia que je sois occupé d'elle je souris encore et je remarquai la demoiselle tenir la main de l'homme.
« Ne me remerciez pas, il est plus judicieux de s'occuper des enfants quand ils sont seuls et que leurs parents ne sont pas loin. Elle aime les livres et elle est gentille et aimable et adorable comme tout. »
J'observai la complicité avec la demoiselle et son père et je regardai un peu où elle se dirigeait, je n'ai pas envie qu'il lui arrive quelque chose. Des clients entrèrent et je remarquai que s'était encore cette bande de jeunes, je leur dis sèchement de sortir. Oui en effet ceux-là il ne respectait pas la librairie et je devais m'occuper à nettoyer derrière eux. Le père de la petite s'excusa encore et me remercia une nouvelle fois pour m'avoir occupé d'elle.
«Vous n'avez pas à me remercier, en fait j'aime que tous mes clients soient à l'aise ici. Parfois un café ou autres je leur serre. D'ailleurs c'est la première fois que je vous vois ici, vous êtes monoparental? On remarque bien cela, proche de votre fille elle est votre prunelle à vos yeux et ça c'est merveilleux.»
Il me dit qu'elle devait être heureuse d'avoir quelqu'un qui puisse la comprendre, je souris encore et je le regarde et j'avoue qu'il est assez beau. Mais ce n'est pas le moment et surtout je ne suis pas une personne à vouloir absolument quelqu'un. Je lui répondis en prenant une pile de livres pour les ranger.
«J'ai voulu faire quelque chose de nouveau dans ma vie autre ce que j'ai fait et j'ai choisi le langage des signes, c'est étonnant, mais il y a beaucoup de personnes sourdes et muettes ou bien que sourd, donc ils se retrouvent seuls et personne à qui parler, donc j'ai décidé de faire cela et aller voir les gens sourd, sourd et muet. Vous voulez un café? Un thé?»
La demoiselle arriva et me tira sur mon pull et je me retournai et elle me dit qu'elle avait choisi. Je la suivis et elle me montra et je lui pris les livres et après je les amenai et passai au lecteur de code et elle me donna son billet, mais je vis qu'il manquait peu et je souris et pris le billet et l'autre livre je le fis gratuit. Je souris et je dis à son père.
«Cela me fait plaisir. D'ailleurs j'aimerais avoir votre accord, mais j'aimerais récolter des fonds pour qu'elle puisse entendre. J'ai une idée et si vous êtes d'accord un entretien ici ou ailleurs pour dire plus sur la demoiselle et je ferais moi-même et je vous montrerai avant la publication.»
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Encore un jour qui s'annonce, cette nuit j'ai bien dormis avec laide des médicaments que mon médecin m'a prescrit. J'en ai pris qu'une fois, mais je me sens encore endormi presque et je me rends compte qu'il est temps que je dois me sortir de ce cercle infernal. C'est donc ce matin en me levant, musique dans la villa je vais dans la cuisine me préparer un petit déjeuner et ensuite je le prends doucement en regardant mon agenda et je souris un peu. Après cela je décide de faire du sport pour me réveiller et ensuite je file à la douche et j'enfile mes vêtements rapidement. Je quitte la villa à pied et me rends à mon travail.J'arrive enfin à la libraire et je vois que le livreur est déjà présent. Je souris et le salut poliment et le laisse entrer dans la libraire avec mes commandes, je suis content que mes commandes soient toutes là et qu'il ne manque rien. Je donne un pourboire au chauffeur et je commence à défaire mes cartons. Je vois des livres pour les enfants et je les range dans un carton pour enfants, ensuite des livres policier, science-fiction, histoire... Je suis très organisé dans ma librairie. Après cela je range les livres sur leurs étagères et je casse les cartons et les ranges dans un endroit pas trop loin. Une fois fini je nettoie tout pour que ce soit propre. Après cela je vais derrière le comptoir et je regarde les mails et je vois que quelqu'un veut un rendez-vous avec moi pour visiter ma librairie, je suis étonné et je l'appelle pour savoir l'objet de son mail, il m'explique et je souris et je dis que justement que j'ai des livres venant de leurs maisons d'éditions et que s'il serait possible de faire une séance de dédicaces de l'auteur du livre pour les enfants. J'ai l'accord pour la semaine prochaine et je souris en raccrochant.J'entends la clochette retentir et je vois un homme et une femme, je regarde de loin en lisant un livre, au-dessus de moi suspendu un oiseau en papier fait par mes mains et aussi d'autres choses. Je suis très doué pour l'origami pour tout dire. L'homme vient me voir et me demande si je n'ai pas tel livre, je regarde dans l'ordinateur et je vois qu'il est dans les rayons et je l'emmène au rayon et je le sors et lui donne, il est content qu'il ait trouvé le livre qu'il cherchait tellement, je pris son livre pour l'encaisser et lui conseilla un autre livre comme celui qu'il avait pris, après cela la femme arriva et je compris que c'était sa femme je souris les voyants heureux. Je les remerciai de leurs visites et les saluai comme en Corée.La clochette retentie de nouveau et je vis la petite fille de la dernière fois je souris heureux de la retrouver et je lui demandai comment elle se portait, elle me montra sur un papier une phrase et je lis et je compris qu'elle était sourde, je lui demandai de nouveau en langage des signes et elle me répondit et je l'emmenai vers le rayon et lui montra un livre et lui raconta en bref le résumer. Elle souria et je fus ravi de voir que j'avais un contact assez bon avec les enfants, elle me tendit le livre et je la regarde et je lui demande de me tenir le livre et je lis le livre et lui raconte dans la langue des signes. Elle sourit, rigole j'aime son expression sur son visage. Elle m'a donné une idée récoltée des fonds pour qu'elle puisse avoir la possibilité d'entendre comme tout le monde.
Il attrape la prunelle de ses yeux et l'embrasse longuement sur la joue, la recouchant avec lui dans les draps encore frais de la veille. Elle échappe des rires difformes mais ô combien magnifique aux oreilles de son père… Souriant, il lui caresse ses cheveux complètement lissés et ayant encore l'odeur du shampoing de la veille. Souriant, il regarde alors les mains de sa demoiselle favorite qui s'agitent frénétiquement dans les airs pour lui raconter un rêve à base licorne, fleurs et d'une armée de petits pois voraces qui voulaient dévorer les fleurs et qu'elle les protégeait avec ses chevaliers peluches. L'imagination des enfants étaient vraiment quelque chose de fascinant. Il ne regardait plus vraiment les mains d'Ellie, juste son visage tout sourire et ses yeux, pétillants de malice. Elle se roule d'un coup, se mettant à genoux et réclamant ses céréales multi-color. Il les soupçonne de ne pas vraiment être saine pour la santé, mais dès qu'elle les voit, son sourire devient immense. Alors bon. Au moins, il n'y a pas de produits animaliers dedans, c'est un bon début. Hochant la tête, il la regarde se lever en emmenant avec elle sa peluche grenouille qu'elle traîne partout depuis ses premiers jours de vie. Soupirant un peu, il se masse alors le visage et baille avant de passer une main dans ses cheveux, les mettant encore plus en bordel que d'ordinaire. Il finit par se redresser et partir s'occuper de sa princesse. La tête encore dans les vapes, il sirote son café, songeur, rêveur, admirant le beau temps. Pourtant, après les graves inondations, il n'arrive plus voir la Nouvelle Orléans que grise et dévastée. Tellement de gens ont tellement perdues. Leur jardin a été noyé, mais fort heureusement, c'est si peu. Il s'occupera de ça plus tard. Ellie arrive et lui tire la manque brutalement pour le sortir de ses pensées. Par une pirouette adroite, il évite de lui renverser son café sur la tête. Il la reprend alors, lui disant quand même comme c'est dangereux. Elle secoue son minois avant de lui réclamer d'aller acheter des livres. Haussant un sourcil, il hoche lui aussi son visage. C'est vrai qu'elle lit et colorie beaucoup, elle ne doit rien avoir de neuf depuis des semaines. Il la laisse choisir ses vêtements après une douche rapide, et lorsqu'il vient la voir et qu'il regarde les collants abeille et la robe en jeans avec les chaussures roses, il hésite un instant… avant de quand même lui mettre ça, juste parce qu'elle est heureuse et qu'il n'a pas envie de la faire rentrer dans une pseudo norme sociale. Jeans troués et t-shirt noir col en V pour lui, il se coiffe un peu après sa douche et part rapidement avec elle sur les épaules à travers la ville. Une fois devant la librairie, il la laisse rapidement entrer alors qu'il se fait alpaguer par une dame âgée qui peine à metre toutes ses courses de sa voiture. Grumpf, il n'est pas vraiment à l'aise de laisser Ellie seule, mais en restant devant, il verra bien si jamais elle sort de là seule ou accompagnée. Alors, il prend le temps de le faire, par politesse, avant de se voir glisser un billet de 10$ dans la main, qu'il refuse, mais elle insiste… Il se dit qu'il le donnera à sa fille alors. Entrant enfin, il la cherche du regard jusqu'à le voir avec celui qui semble être le libraire. Oui, c'est ça, il l'a déjà vu plusieurs fois en passant de temps en temps. « Excusez-moi. » Il offre un maigre sourire. « Merci de vous être occupé d'elle. » Il se met alors à signer avec Ellie, disant qu'elle aurait pu l'attendre et non pas importuner le gentil Monsieur. Il lui fera une leçon plus tard avant de lui donner le billet de la vieille dame, disant qu'elle peut s'acheter ce qu'il veut. Bien sûr, il rallongera ce qui manque, mais il aime bien la laisser faire des choix par elle-même et compter, comme elle peut, si avec ses « petits sous », comme elle dit, elle peut s'acheter telle ou telle chose. Heureuse, elle se met alors debout pour commencer à faire le tour des rayons pour autant, observant les livres, les couvertures, les dessins, les couleurs. « Désolé encore, et merci encore. » Il a remarqué cependant, les mains de l'homme qui signait lorsqu'il est entré. « Elle doit être heureuse de trouver quelqu'un qui la comprend. »