Help, I need somebody ! Cat' et Sam

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Elle était dans la poussette et moi bah je poussais. J'en avais tellement marre, des heures à marcher dans les allées de cet aquarium de merde, j'avais juste envie d'aller me bourrer la gueule. Mais non je devais ... " Papa ? " m'interpella alors une voix toute douce et familière, ma fille. Ah oui voilà pour quoi je faisais tout ça, MA FILLE. " Oui ma puce ? " demandais-je en soupirant. " On peut aller voir les requins ? " elle sortit de la poussette et planta son corps haut comme trois pommes devant moi, les mains sur les hanches. " Et puis c'est pas toi qui décide ! " Son regard avait la pétillance de celui de sa mère lorsqu'elle voulait vraiment quelque chose, " Nan mais didonc c'est quoi ce ton ? " la rabrouais-je dans un sourire désabusé, nan mais j'hallucine. " Désolé papa, mais je veux y aller, vraiment beaucoup. " elle immergea son regard de chien battu dans le mien, comment refuser ? Mmh ... J'arquais alors un sourcil malicieux. " Tu sais que ... c'est vilain un requin ? ça de longue dents trèèèès pointues, tu le sais hein ? " demandais-je faussement surpris, une lueur de " menace " imprégna mon regard. " Ils vont s'approcher, s'approcher et ... " je liais le geste à la parole, elle se mit à éclater de rire et à partir en courant tendis que je la coursais. Je l'attrappais tendis qu'elle riait aux éclats. " Et ils vont te manger toute crue MMMH LE BON PETIT POISSON QUE VOILÀ MIAM MIAM MIAM ! " ma fille était prise d'une gros fou rire, moi-même mon regard était rieur. Les gens nous regardaient avec une lueur amusé et je la perchais alors sur mes épaules. " Bon allez on va les voir tes requins. " cédais-je, elle cria de joie tendis que j'attrappais la poussette et la fit rouler jusqu'à ce qu'on se trouve devant cette vitre immense. De magnifiques requins blanc nageant à l'intérieur, ils étaient éffrayant. Kim se mit à trembler. Je la descendis de mes épaules. " J'ai peur. " répétait-elle, elle morvait de partout, ses yeux étaient tout bouffis. " bouge pas de là. Je vais te chercher un mouchoir. " Je repérais une jeune femme qui ne semblait pas être une voleuse d'enfant. " Excusez moi vous pouvez me la surveiller deux minutes ? " lui demandais-je en la considérant dans les yeux. Je m'en allais aux toilettes les plus proches et revins armé de PQ pour lui essuyer le nez.

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samuel ft caterina

Tout le monde a un ami à chaque étape de leur vie, mais seulement quelques personnes ont le même ami à toutes les étapes de leur vie

J’étais à l’aquarium, je devais le faire depuis un moment et j’avais trouvé mon jour. Il y avait du monde et beaucoup, trop de morpions qui marchait à deux pattes. J’adorais les enfants mais trop c’était trop et comme on dit : trop d’enfants tue les enfants. Néanmoins je gardais mon sang-froid et longeait les allées où des vitres y étaient installés. J’ai pus voir des poissons, des moches poissons et des beaux poisson, il y avait de tout quand je m’arrêtais devant les requins blanc, ils étaient magnifique quand un homme m’interpellait. « Excusez moi vous pouvez me la surveiller deux minutes ? ». Je n’avais même pas eu le temps de répondre qui s’était volatilisé, je restais là avec la jeune demoiselle, je m’étais accroupit afin d’être à sa hauteur et lui avait demandé comment elle s’appelait. « Je m’appelle Kim ». M’avait t’elle dit d’une tel simplicité, je lui dis alors mon prénom mais le fait qu’un père abandonne sa fille avec une inconnue, c’était pas le top. Il revenait quelques instants après lui donner un mouchoir, j’en profitais pour le regarder. « Vous savez que c’est pas très malin de laisser sa fille avec une inconnue .. J’aurais très bien pu la kidnapper ». Lançais-je en regardant l’homme avec insistance.

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Alors que je revenais dans la salle, je vis Kim et la jeune femme entrain de discutter de dos on aurait dit ma défunte femme, j'en frissonnais. Arrivant à leur hauteur, j'avais repris mes esprits. " Viens pas là crapeau. " ordonnais-je à ma fille dans un sourire elle obtempéra en riant et je lui essuyais alors soigneusement ses narines embourbées de morves, laissant le tissue coller sa peau rougit. " Allez souffle avec ton nez. " continuais-je presque sévèrement, elle obéit sagement et son nez se vida rendant le tissue blanc davantage transparent. La jeune femme me regarda alors dans les yeux tendis que je lançais le PQ - à la manière d'un basketteur professionel - dans une poubelle. Elle me fit une réflexion, mon sourire n'atteignit pas mon regard que je portais vers le sien. " Si seulement. " répliquais-je en jouant de mon sourcil. Je laissais échapper un rire et posais ma main sur la tignasse brune de mon ptit ange. " Je ne l'aurais pas confié à quelqun qui ne m'inspire pas confiance et sans vouloir vous véxer vous semblez innocente je veux dire je ne l'aurai pas confié à un homme ou quelqun dépassant la vingtaine. " affirmais-je doucement, elle avait quoi 17, 18 ans ? Je la voyais mal kidnapper une enfant, surtout la mienne. C'est un calvaire cette gamine quand elle s'y met. Kim se mit alors à regarder l'inconnue avant de lui prendre la main et jouer avec ses doigts, je roulais des yeux en la regardant " Kim ! Viens ici ! " hurlais-je presque, elle ria. " Non, j'ai pas envie ! ' elle me tira la langue telle une rebelle et se cacha derrière la jeune inconnue. C'est vraiment une fou la honte cette petite, j'étais très embarrassé.

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Il y avait vraiment des parents inconscient ici, ça devenait grave. Comme si les infos nous mettait pas en garde contre les enlèvements et lui lâche sa fille avec une parfaite inconnue avant de prendre la fuite pour du papier toilette alors qu’il suffisait de demander un mouchoir .. Il faisait peut être un bon père mais le cerveau n’y était pas. « Je ne l'aurais pas confié à quelqun qui ne m'inspire pas confiance et sans vouloir vous véxer vous semblez innocente je veux dire je ne l'aurai pas confié à un homme ou quelqun dépassant la vingtaine ». Je croisais mes bras sur ma poitrine en observant le jeune homme en question avant de me regarder de haut en bas. J’avais qu’une envie : le gifler mais je voulais pas effrayer sa fille qui était adorable. « Parce que vous avez le don de reconnaître les psychopathes ? ». Lâchais-je en riant, non mais j’aurais tout entendu. « C’est plutôt le contraire monsieur-je-laisse-ma-fille-seule car c’est des jeunes dont il faut se méfier maintenant et pour votre information j’ai vingt deux ans ». Ajoutais-je en le regardant toujours déterminé alors que sa fille venait se mettre derrière moi, elle tenait alors ma jambe et je me penchais pour lui sourire. Il avait du mal à se faire respecter et moi en tant que spectatrice, j’étais morte de rire. Je regardais l’homme en question. « J’ai pas votre âge mais une chose me dit que vous savez pas vous faire respecter ». Dis-je en restant comme ça sans dire quoi que ce soit à la petite, elle était bien là alors qu’elle y restait.

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Alors qu'en bon père j'avais laissé ma fille sous la surveillance d'une jeune femme et non pas toute seule face au reste du monde, la jeune inconnue se mit à me juger. Je le sentais dans son aura, dans chacune de ses expressions et dans son regard sombre. Un sourire presque mesquin m'échappa. Comme si elle était presque véxé, elle croisa ses bras, attitude qui se prête à la non-communication, tous les sociologue vous le diront. Dans un rire elle me demanda si j'avais des capacités pour reconnaître les psychopathes, je lâchais un rire bref sans la quitter des yeux. " Oui, je cerne rapidement les gens. " énonçais-je doucement sans la quitter de mon regard scrutateur. Sans vraiment y faire attention, je fis un pas vers elle, réduisant la distance entre nous. Impressionné hein ? Pouvait-elle y lire avec ironie au fond de mes yeux, je croisais les bras, mon t-shirt moulant alors davantage mon torse musclé sans même m'en appercevoir. Elle m'indiqua que c'était des jeunes qu'il fallait se méfier, de nouveau se rire bref m'échappa. " Tu préférerais laisser ton enfant à Manuel le camioneur de 47 ans ou à Jill la jeunette de 18 ans ? " c'était une question rhétorique, je n'attendais aucune réponse. Avec élégance et charme, je lui fis un clin d'oeil moqueur. Elle m'informa alors qu'elle avait 22 ans, je ne pu empêcher une lueur de surprise surgir dans mes prunelles. Je la regardais alors d'un autre oeil, de haut en bas comme elle l'avait avec moi peu de temps auparavant. Elle était plutôt bien foutu, je ne voyais pas ses fesses, mais elle avait en tout cas une très jolie poitrine. Je fis une moue appréciatrice sans la quitter de mon regard amusé. En général, les femmes réagissaient étrangement lorsque j'agissais de cette manière. Perdu dans mes pensées, j'en oubliais presque ma fille, Kim se mit d'ailleurs derrière la jambe de la jeune femme pour me provoquer. Elle était comme sa mère cette petite. La jeune femme m'affirma alors qu'elle n'avait pas mon âge ce qui me fit légèrement grimacer, ça va j'ai 25 ans, faut pas pousser. Néanmoins je ne rélevais suite à la fin de sa phrase. Le fait que je n'arrive pas à me faire respecter. " On pari ? " demandais-je à la jeune inconnue avec un léger sourire, je savais tout de même mater ma fille. " Le secret, c'est l'argument. " soufflais-je alors mystérieusement avec ce sourire si caractéristique aux lèvres. " Kim, tu veux que papa t'achêtes une glace ? " questionnais-je en plongeant mon regard amusé dans celui du petit monstre. Elle se mit à crier de joie avant de sauter partout même sur les gens, " oh le bordel. " murmurais-je pour moi-même en me relevant les yeux écarquillés. " Je vais avoir une glace ! " répétait-elle avant de me sauter dessus et de me faire un gros bisous sur la joue. Les yeux dans ce de la jolie brunette, j'écartais les mains, j'avais même pas besoin de tenir ma fille vu comme ses bras ensérrait mon cou. " Je ne sais pas me faire respecter c'est ça ? " demandais-je en prenant un malin plaisir à lui sourire, mon regard toujours dans le sien. " Elle peut venir avec nous Caterina ? " demanda alors ma fille, je fronçais les sourcils, c'était qui ça ? Encore un ami imaginaire ? Je riais à cette pensée. " Et elle où Caterina ? " questionnais-je, ma fille pointa alors la jeune femme du doigt, je fis les gros yeux. Mais qu'est-ce qu'elle avait avec cette jeune femme, ma fille ne portait jamais autant d'întérêt aux inconnus d'habitude. " Je suis désolé, ma fille est vraiment impoli, tu dois avoir mieux à faire. " alors que je comptais partir sur ses derniers mots ma fille fit le caprice du siècle. Elle sauta sur la jeune femme, et plongea son regard larmoyant dans le sien. " S'il te plait, tu peux venir. " renifla-t-elle, on dirait je suis un monstre et qu'elle peut pas rester avec seule avec moi. J'attendais patiemment que je la jeune femme la remballe.

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samuel ft caterina

Tout le monde a un ami à chaque étape de leur vie, mais seulement quelques personnes ont le même ami à toutes les étapes de leur vie

On partaient sur une discussion sans fin, il parlait, je répondais et ainsi de suite mais au bout du compte, j’étais fatigué. Les journées à l’hôpital me tuait, cependant j’avais encore de la force mais pas pour utiliser ma salive pour rien. La petite fille, Kim se trouvait derrière moi et elle ne veut pas bouger. « Kim, tu veux que papa t'achêtes une glace ? ». Je regardais l’homme en question, outrée, j’avais même la bouche ouverte avant de rire légèrement. Quant à Kim, elle s’empressait de sautiller partout et sur tout le monde, je secouais la tête. « Vous appelez sa des arguments ? Moi j’appelle sa du chantage, c’est interdit ! ». Dis-je en croisant les bras sur ma poitrine en levant la tête, c’était limite je boudais .. Non, moi bouder ? Jamais. J’allais tourner les talons pour continuer la visite quand Kim demandait à son père pour que je vienne, je fermais les yeux fort, respirait un bon coup et me retourné pour dire que je pouvais pas et l’homme en question ne comprenait pas que sa fille parlait de moi, en fait il venait d’apprendre mon prénom. « Je suis désolé, ma fille est vraiment impoli, tu dois avoir mieux à faire ». Pour rendre la chose amusante, je fis un non de la tête. « J’ai tout mon temps ». Dis-je avec un immense sourire quand la petite sautait dans mes bras, je la rattrapais au vol en la posant contre mes hanches avant qu’elle ne me regarde avec ses petits yeux. « Oui, je viens ». Je souris à l’homme en question avant de le rejoindre. « Vous savez mon prénom, génial mais quel est le vôtre monsieur-je-pars-seul-en-laissant-ma-fille ? ». Demandais-je en repartant vers la sortie.

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