Rentré depuis peut de sa mission, Andrew avait tout de même eut le temps de revoir la plupart de ses proches et amis. Sauf une personne qu'il ne savait pas s'il devait la considéré comme une proche, une amie ou autre chose. Son ex-femme, Sawyer. Il avait entendu Rose critiquer de nombreuses fois en peu de temps. Il n'avait pas bien compris ce qu'elle avait marmonnait, mais il avait compris qu'entre les deux, depuis son départ, les choses avaient été plutôt tendues.
N'ayant pas grand chose à faire puisqu'il était considéré comme à la retraite tant que le commandant ne l'envoyé pas en mission, il passait le plus clair de son temps à se balader dans les rues de la Nouvelle-Orléans, à profiter du soleil quand il y en avais et à se prélasser, appréciant la vie tranquille à laquelle il pouvait aspiré au moins un petit peu.
Il s'était donc rendut au Starbuck, les mains dans les poches, et s'était assis contre une fenêtre, tout seul. Il ne connaissait pas vraiment ce genre d'endroit, mais il appréciait le fait de ne pas se retrouver en foule, bien qu'apparament c'était une chose plutôt rare. En train de boire le café qu'il venait de commandé, il manqua de s'étouffer en identifiant la personne qui entrait dans l'enseigne.

Faire la guerre était tout sauf le passe temps favori d'Andrew, raison pour laquelle, en mission, il avais préférer s'abstenir et demander à s'occuper de la protection rapproché des missionnaires aux quatres coins du monde, mai surtout, à ce moment là, dans le lieu géographique où il se trouvait. Pourtant, avant de partir en mission, il s'était longtemps bagarrer avec la personne qui, à l'époque, été la plus importante à ses yeux. Son ex femme. Sawyer. Penser à elle aujourd'hui était encore plutôt déroutant. Il n'avais jamais vraiment sut pour quelle raison tout avait volé en éclats entre eux. Mais s'était ainsi, et il ne pouvais plus rien y faire.
Alors qu'il pensait avoir mit cette épisode de sa vie derrière lui, il fut perturbé de se rendre compte, en la voyant entrer dans le café, que la voir lui faisait encore de l'effet. Pas comme on pourrais l'imaginer, non. Mais il sentit son sang ne faire qu'un tour avant de se glacer. C'était vrai. Si lui avait quitté la Nouvelle-Orléans un moment, il n'y avais pas vraiment de raisons pour qu'elle ait fait de même sans, à l'instar d'Andrew, revenir au bout d'un moment. Et même s'il rêvé plutôt d'aller lui jeter des injures aux visage, il se retint: la ville ne lui appartenait pas, le café non plus et il n'avait pas le droit de se permettre sa en publique.
Pourtant, quand il vit qu'elle alla s'asseoir de l'autre côté du magasin en le voyant, il ne put pas s'en empêcher et alla s'asseoir en face d'elles.
Bonjour Sawyer... dit-il calmement bien que froidement.

Peu certains de ses actes, Andrew s’étais tout de même levé dans le but d’aller parler à son ex femme. La Nouvelle Orléans était certes plutôt petite, mais il ne s’était pas attendus à ce que la coïncidence soit aussi énorme. Ou du moins, il ne s’était pas attendu à se retrouver face à celle qu’il avait épousée quelques années auparavant. Mais les choses étaient différentes à présent. Il y avait Luna, qui lui avais rappeler ce qu’était l’amour, celui qui fait mal et qui reste longtemps sur la peau. Sauf qu’il ne pouvait et ne pourrait jamais oublier Sawyer, c’était ainsi. Sa situation était tous ce qu’il y avait de plus délicat, il en avait conscience. Mais elle était surtout la mère de son fils, qu’il le veuille ou non.
Être père était d’ailleurs plutot étrange pour lui. Il n’arrivait pas à s’y habituer. Et il avait besoin de parler à Sawyer, au moins pour voir son fils. De toute façon, elle ne pouvait pas lui empêcher de le voir. Non, ça Rose s’en était bien chargée, sans même que personne ne le lui demande d’ailleurs. C’est principalement pour cela qu’il s’était levé pour aller s’asseoir face à elle. Et vu sa réaction, la blonde n’étais pas contente de cette rencontre. Quoi que lui non plus ne l’était pas particulièrement. Aucun contact? Il fallait y penser avant d’accepter d’avoir un fils… sans mon avis. Mais je ne viens pas pour me disputer avec toi. Quand au ton, il ne releva pas. Après tout elle n’avait pas de leçon à lui faire, puisque de toute façon, elle venait clairement de lui faire comprendre qu’elle ne souhaité pas lui parler. Alors qu’elle se leva il haussa un sourcil, surpris, mais également étonné. Eh bien s’est ce qu’on appel savoir écourter une conversation… On peux savoir où tu vas? dit-il en se levant également, prêt à la suivre, bien qu’il veilla à ce qu’elle ne le remarque pas forcément.

Il voyait déjà bien au combien il l'énervais. Mais il n'y pouvais rien. Quand ils s'étaient quittés, il l'aimais encore. Mais c'étais elle qui avait décidé de mettre fin à leur mariage. Et il étais totalement persuader que son amour, à l'époque, n'étais pas déjà en sens unique. C'était impossible, sinon, elle ne lui aurait pas demandé le divorce pour ses raisons-là. Seulemant si elle ne voulait pas qu'il l'énerves, elle n'avais qu'à lui dire la vérité. Et il savais pertinemment bien que la vérité, de la part d'une Sawyer qui refusait à lui donner raison, d'abord c'était surfait, et ensuite ce ne serait que la sienne, quand bien même elle ne serais que mensonge.
Il haussa un sourcil. Il savait très bien quand elle mentait. Or, là, il le savait pour deux raisons. Rose, qui n'était pas du genre à raconter la vie des autres à tout le monde, lui avait confié que Sawyer avait confirmer sa paternité. Et le mensonge de Sawyer se sentais à plein nez. Si tu le dis, on va faire comme si je te croyé. Mais Rose a fait un test de paternité. Et il est positif. Donc que tu m'aies trompés ou non -appelle ça comme tu veux, je m'en fiche bien pas mal, je sais que Matthieu est mon fils. Et tu ne pourras pas changer ça.
En temps qu'ex militaire, il avait le bras long et Sawyer le savait. Alors qu'elle tente de le défier, et il saurait comment récupérer la garde de son fils. Il savais qu'il en étais capable.
Il se déplaça, pas certains de vouloir continuer cette conversation. Et juste pour que tu saches, je ne partirais plus en mission "tous les mois pour une durée indéterminée" et je ne risquerai plus de mourir, comme tu dis si bien. Il soupira. Il n'était pas venu lui parler pour que tout sa finisse en jus de boudin. Au passage, je n'étais pas venu pour provoquer une guerre mais pour calmer un conflit. J'espère que tu y réfléchira et que tu saura faire ce qui est le mieux pour NOTRE fils, insistant sur le mot "notre".