Après notre rencontre au supermarché, j'avais inviter Andrew à passé chez moi. On avais un tas de chose à se raconter, à mettre au point, et j'avais déja hâte de passer encore du temps avec lui. Il m'avait réellement manquer car même tout ce temps passé loin de lui n'avait pas réussit à changer mes sentiments pour lui.
Chacun de notre côté, nous avions payer nos courses et il s'était arrêté chez lui pour poser les siennes et mettre ses surgelés au frais. Avec la chaleur ambiante, c'était la meilleure solution. Je l'avais attendue avant de l'emmener tout droit dans mon chez moi qu'il ne connaissait pas.
Avant l'humanitaire, c'était dans la maison familiale que je vivais. Mais les dispute et l'ambiance qui y régnait me déplaisait et j'avais sauter sur l'occasion pour déménager à notre retour de mission à Leah et moi.
Une fois arrivés chez moi, je lui proposais de s'installer et de se mettre à l'aise, même si, pour ma part, c'étais loin d'être le cas.
- tu veux boire un café peut-être?-

Revoir Luna avait été un réel choc tant il ne s'y était pas attendu. Mais, rester debout, des caddies devant soi, c'était tout sauf conviviale. C'est pourquoi la brune, sous ses sourires toujours aussi magnifiques, avait proposé à Andrew de passer chez elle pour discuter.
Avec toutes ses courses payées, le militaire n'avait pas pu trouver d'autre solution que de promettre de venir chez une une fois et une fois seulement après avoir déposé ses achats chez lui avant de tout voir fondre en ce qui concernait les surgelés. Et, comme à son habitude, c'est avec un immense sourire que Luna avait acquiescé.

Une fois hors de chez lui, son coeur s'emballa. Contre tous ses efforts pour oublier les merveilleux moments qu'il avait passés avec elle durant leur mission respective, ils refaisaient surface aussi douloureusement que ses sentiments pour elle. Et plus il les retenait, plus il avait l'impressions qu'ils étaient sur le point de le faire exploser.

Je découvrais pour la première fois son chez elle. À vrai dire, nous ne connaissions seulement les tentes l'un de l'autre à l'époque.  je la regarda et souris le plus grand possible. Oui, bien volontiers!