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A quoi ça sert d'avoir une famille si on peut pas la mettre a profit ? /Juan /HOT/
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Sujet: A quoi ça sert d'avoir une famille si on peut pas la mettre a profit ? /Juan /HOT/ - Sam 21 Nov - 17:36
Juan & Carter
❛On fait dans l'originalité : le meilleur moyen de résister à la tentation c'est d'y céder.❜
Réunion de famille trop chiante. Comme d'habitude, pour Carter, ce genre de réunion était tout simplement une torture, parce qu'il fallait jouer les abrutis devant la belle-famille, et même sa propre famille. Mais aujourd'hui, c'était différent. Son but était tout autre, l'ennui n'était pas au programme ; Parce qu'il y avait Juan. Son beau-frère, latino, aux muscles bien dessinés, à l'air franchement viril et visiblement un pantalon bien rempli... Tout ce qui faisait rêver -exciter- le jeune policier. Peu importe si il était le mari de sa soeur, il s'en foutait bien comme il faut. Lui tout ce qu'il voulait, c'était prendre son pied avec lui, quand il le souhaitait. Ils n'avaient jamais été proches avec sa soeur de toute façon, puis bon, c'est pas parce qu'il y a un pseudo lien du sang qu'il devait avoir des obligations qu'il n'avait même pas envers ses amis. Il prenait, quand il voulait, peu importe si ça appartient à quelqu'un. Il avait très peu de morale, et était franchement égoïste, mais sérieusement... Vu ce qu'il souhaitait s'offrir pour une franche partie de jambes en l'air, ça valait le coup de virer toute éthique...
Il s'était habillé correctement pour l'occasion, bien apprêté mais l'air détendu. Jean assez moulant, mettant bien entendu en valeur son postérieur, -il savait que ça montait d'un cran l'envie de Juan- déchiré légèrement aux genoux et délavé, t-shirt noir col V, et petite veste. Coiffure au top, il était présentable, comme toujours.
La soirée se déroulait normalement, du moins, la famille Mason comme la famille de Juan avait l'air de bien s'entendre pour ce petit week-end en famille. Ca rigolait, et ça picolait à table. Le vin coulait à flot, et le père de Carter n'avait pas la main légère sur l'alcool, il servait les invités sans trop demander. Même son fils. Mais il était totalement bien, il préférait avoir l'esprit clair pour pouvoir se taper le beau latino qui servait de mari à sa soeur... Il avait passé la soirée à le regarder, et à profiter de quelques unes de ses excursions en cuisine ou ailleurs pour le suivre et tenter de l'allumer, mais en vain, il était toujours suivi de près... Chasse gardée ? Petit joueur. Ce n'était pas la première fois qu'il faisait ça, Juan connaissait bien son petit jeu, et même si il n'assumait pas, et jouait les durs, il finissait toujours par céder à la tentation... Il faut dire que Carter n'y allait pas de main morte pour le convaincre, lui non plus. Il jouait tous ses atouts, et même ses cartes cachées... Mais plus le temps passait, plus il savait qu'à force, ça serait Juan qui réclamerai son cul.
Alors qu'ils étaient tous à table, familles réunies, en train de discuter autour d'un café ou de verres de vins pour certains, mine de rien, il surveillait ce que Juan allait faire. Il avait l'air un peu pompette lui aussi, mais bon, autant en profiter justement vu qu'il était un peu réticent.. quand tout n'était pas lancé. Quand il le vit se lever et monter à l'étage, il n'hésita pas. L'air décontracté sur sa chaise, il s'étira, puis se leva calmement. Il allait déclarer aller aux toilettes, mais visiblement personne ne l'écoutait réellement. Justement.. personne n'avait de réel doute sur ses intentions. Il se rendit alors à l'étage, là où Juan s'était rendu, pour une quelconque raison. Discrètement, il le suivit dans la chambre qu'il venait d'investir, et l'air de rien, il rentra et ferma la porte derrière lui, plaquant son dos dessus.
« Aah... D'puis l'temps qu'j'attends ça.. »
Il savait qu'il n'était pas en terrain conquis, mais il saurait le faire céder... Il s'approcha de Juan, le regardant avec une envie dévorante, déjà. Il l'avait cherché toute la soirée, du pied sous la table, aux mordillements de lèvres indécents quand personne ne le regardait, en passant même par les petits chuchotements cochons à l'oreille quand personne n'y prêtait attention.
Il se colla immédiatement à son corps, la main sur la braguette, l'autre sur son torse.
« Tout l'monde est occupé en bas... On a l'temps d's'amuser un peu.. »
Sujet: Re: A quoi ça sert d'avoir une famille si on peut pas la mettre a profit ? /Juan /HOT/ - Jeu 26 Nov - 12:38
Réveiller la bête sauvage.
Oops, I did it again... ✧
Les repas de famille.
Interminables, chiantissimes au possible... La belle-mère qui me demande quand est-ce que je compte faire un gosse à sa fille, le beau-père qui m'demande quand est-ce que je retourne au pays pour lui ramener du rhum... Les cousins aux trois marmots qui braillent toute la journée, les tantes dépressives, les oncles alcooliques, les ados boutonneux qui quittent pas leurs portables... C'est le parfait cliché, autour de cette table. Nous sommes tous réunis pour "l'organisation du repas de Thanksgiving" qui a lieu dans à peut près un mois, ici même, chez les beaux-parents.
Shanna restes près de moi, consciente que je fais un gros gros travail sur moi même pour ne pas me mettre à rigoler nerveusement. Mon regard se ballade sur cette attablée qui compte aussi mes parents... Et honnêtement, j'ai bien envie d'emplâtrer quelqu'un, là, tout de suite. Pourquoi pas Kev', ce petit con de 16 ans qui passe son temps à m'insulter sans que personne ne dise quoi que ce soit ? Ou alors Madison, la tante qui n'a de cesse de rabrouer son mari qui a la main trop lourde sur le vin... Bordel elle peut pas le laisser tranquille ? C'est pas comme si il allait prendre le volant après, ou je ne sais quoi. Qu'elle chèvre, celle-là... Ou alors je peux bien cogner Carter, mon beau-frère. Ouais, c'est le bon plan, histoire de lui faire comprendre que... Que lui et moi, c'est juste pas possible.
Ouais, Carter.
Saloperie de gamin de 20 ans trop sûr de lui et pédé comme une raie. Celui là même qui à déjà profité de mes instants de faiblesse par deux fois... Oui, j'ai baisé mon beau frère. Non, j'assume pas. Et j'aimerais qu'il pige que j'ai pas envie de recommencer l'truc, parce lui, vu comme il m'observe depuis ce matin, j'suis persuadé qu'il pense encore pouvoir se faire pécho. Mais non. J'suis pas gay, j'suis marié... Et puis voilà quoi. Question de principes.
Bref, faut que j'me calme.
"J'reviens bébé, j'vais fumer."
Je me penche vers ma femme pour lui dire ça au creux de l'oreille sans que ma harpie de belle-mère ne m'entende... C'est qu'elle ne rate pas une occasion d'me faire chier celle-là. J'me lève, et je m'en vais vers notre chambre à l'étage pour récupérer mon manteau et mon paquet de clopes à l'intérieur. J'me plante tout d'abord de piaule. C'est que la baraque est grande... Neuf chambres, je crois. Une fois arrivé à bonne destination, je laisse la porte juste entre ouverte et attrape mon manteau pour fouiller dans les poches... Lorsqu'une voix bien connue vient tinter à mes oreilles.
Eh merde.
Je me fige, avant de me retourner très lentement, comme si j'étais face à un gars armé :
"Putain, ça m'aurais étonné..."
Ses yeux clairs brillent légèrement dans le noir, seulement baignés par la lumière blanche de la Lune qui perce les rideaux. Je devine une sourire sur ses lèvres fines.
"... Carter, y'a tout le monde en bas, et Shann..."
J'ai même pas le temps de terminer ma phrase qu'il vient se coller contre moi, l'insolence dans les mains, la malice dans les yeux... Ses doigts viennent déjà caresser mon torse, sous ma chemise blanche. Je stoppe cette inquisition assez rapidement, attrapant son poignet dans ma main sans aucune douceur. Je ne souris pas, j'ai même l'air assez mécontent...
"Eh, tu joues à quoi là ? Dégages, c'est pas l'moment."
Je le repousse, déglutissant avec la plus grande difficulté du monde. Je suis certes éméché, mais je n'ai pas du tout envie qu'on nous surprenne.
"Puis j't'ai dis stop. J't'ai dis d'oublier tout ça, que ça n'arriverait plus."
Je le contourne, essayant de garder une distance convenable entre lui et moi :
"Et stoppe aussi toute ta mascarade à table, là. Le pied sous la table, les murmures de salope. Tu arrêtes tout ça, Carter, j'déconnes pas."
J'suis sérieux. J'ai bien réfléchis, j'ai bien culpabilisé, et je sais parfaitement que maintenir une telle relation va m'envoyer au casse-pipe sans mauvais jeu de mot... Et j'ai pas vraiment envie de niquer mon mariage pour une histoire de cul.
"J'espère que t'as pigé."
J'tourne le dos sans sommation, me dirigeant vers la porte de la piaule, espérant que mes mots assez durs auront percuté sa matière grise.
Sujet: Re: A quoi ça sert d'avoir une famille si on peut pas la mettre a profit ? /Juan /HOT/ - Jeu 26 Nov - 13:32
Juan & Carter
❛On fait dans l'originalité : le meilleur moyen de résister à la tentation c'est d'y céder.❜
Il avait attendu une telle occasion toute la soirée. Autant dire qu'il n'allait pas la laisser passer comme ça... Même si son gentil beau-frère n'assumait pas ses actes : il n'allait pas se retenir, et il l'aurait, encore une fois. Il avait confiance en lui-même pour ce genre de choses... Puis il avait bien craqué une fois, deux fois... Alors, jamais dans sans trois, n'est-ce-pas ?
Quand il rentra dans la chambre, Juan, même de dos, reconnu directement sa voix. Malicieux, même si son accueil n'était pas des plus chaleureux, il se mit à rire légèrement, un peu mesquin.
« J'vois qu't'es content d'me voir... »
Alors qu'il s'approchait de lui pour coller sa main contre son torse, le brun lui attrapa le poignet, et le maîtrisa. Il ne perdit en rien son sourire malin, de toute façon, il s'y attendait. Il fallait le travailler le latino avant d'obtenir quelque chose de lui... Il le regarde dans les yeux, et ne sourcille pas.
« Fais pas ton rabat-joie, la première fois qu'tu m'as baisé y avait ta femme à côté et ça t'as empêché de rien... »
Quand il le repoussa, faisant mine de n'avoir aucune envie envers lui, Carter ricana. Il se tourna vers lui, ne le lâchant pas du regard. Il était hors de question qu'il le laisse partir comme ça. Il prit son air malicieux, fier de lui. Il ne le lâchait pas, même en paroles.
« C'est aussi c'que tu disais après la première fois... puis la deuxième... »
Il commença à le sermonner sur son comportement à table, ses allusions, ses petites caresses sous la table, et encore bien d'autres choses... Oh que non, il n'allait pas s'arrêter. Ca ne risquait pas. Il aimait le provoquer, et en arriver à un point de non retour. Juan avait le sang chaud... et le jeune flic le savait très bien.
« Bla bla bla... » fit il, totalement détaché de sa morale. « Tu parles beaucoup... pourquoi t'agirais pas un peu plus ? »
Sans attendre, avant qu'il ne parte, il se plaqua entre la porte et Juan, pour l'empêcher de sortir. Il le regarda, bien dans les yeux, en se mordillant la lèvre inférieure d'un air fripon. Rien que de le chercher corporellement et mentalement commençait à échauffer son esprit, et aussi son bas-ventre... Ce petit jeu lui plaisait beaucoup.
« T'vas pas m'laisser comme ça quand même... »
D'un coup d'un seul, il se décolla de la porte d'un coup de fesses, venant attraper les pans de la chemise du brun, et commençant à déboutonner de haut en bas quelques uns de ses boutons, le regardant toujours, avec des yeux envieux.
« J'sais qu't'as envie d'mon cul... et tu sais très bien de quoi j'ai envie... » dit-il, descendant une de ses mains sur la braguette du latino, la caressant sans gêne. « Alors donne la moi... »
Son air fiévreux disait tout. Ses mains baladeuses imageaient ce qu'il pouvait imaginer. Il se mordit de nouveau la lèvre en le regardant, essayant peu à peu de le faire reculer vers le lit, tout en déboutonnant sa chemise pour laisser entrevoir son torse bien fait.
Sujet: Re: A quoi ça sert d'avoir une famille si on peut pas la mettre a profit ? /Juan /HOT/ - Lun 30 Nov - 15:03
Juan P. De Lemos a écrit:
Réveiller la bête sauvage.
Oops, I did it again... ✧
J’ai beau me faire menaçant avec ce gamin, rien ne fonctionne. Je peux monter d’un ton, je peux être violent… Ca ne fait que l’exciter un peu plus. Il est tenace, ce petit con. Si bien que j’sais jamais si j’ai envie de lui coller un pain, où de le baiser violemment contre un mur. Peut être les deux ? Une chose est sûre : maintenant dès qu’il met en place son petit manège, ça ne me laisse plus indifférent. Mon esprit me dicte que c’est très mal. Ma femme est en bas, toute la belle-famille est là… Mes parents également. Mon corps quand à lui… Putain s’il suffisait qu’on s’aime que je me fie à ma queue, je devrais déjà être en train de lui bourrer le fion. C’est un combat sans merci qui se livre à ce moment même entre moi et… moi. Mon esprit, et mon corps. Mon corps et mon esprit. C’est usant. J’y pense sans arrêts. Et je sais bien que l’espace est infime avant que je ne craque. J’aimerais savoir faire autrement, j’aimerais lui coller une bouffe et me barrer, mais j’en suis incapable. Regardez moi cette gueule ? Vous auriez envie de le frapper vous ? Bah moi non plus. Maintenant que j’y ai goûté c’est quasi impossible de lui refuser. J’saurais même pas expliquer pourquoi il m’attire lui. Pourquoi les autres ne me font aucun effet. Et je me répète je sais, mais cette question tourne en boucle depuis la première fois où je l’ai baisé.
Passons la réflexion.
Je suis quasiment fait comme un rat. Carter vient de s’interposer entre cette foutue porte et moi. Je soupire, prenant un air las, mais au fond de moi, se battent le stress et l’excitation. Ils sont là, à s’insulter dans ma tête -Mais vas-y baises le, putain. Son petit cul là… Son corps, son regard, ses soupirs… - et puis… - Non, Juan ! Shanna est en bas… Imagines si on te surprend, putain tu diras quoi ? Non, c’est pas c’que tu crois chérie ?! – Putain mais fermez vos gueules, quoi. J’ai même pas le temps de réfléchir de manière posée… Et v’là que l’autre se jette sur moi, s’accrochant à ma chemise, commençant à en défaire les boutons… Il prend sa plus belle voix de shagasse et je n’arrive plus bien à réagir de manière rationnelle. Sa main vient se perdre quelque part sous ma ceinture… j’en ai un putain de frisson… Un courant électrique qui me paralyse presque.
« Carter… »
Je recule. C’est malgré moi que je cède peu à peu. J’ai l’impression d’être un putain de soumis.
Juan. C’est qui le mâle putain de merde !
Mon esprit est bloqué. Je ne pense plus à ce qui se trame en bas. Tout ce que je fais, c’est réagir à l’instinct. Et là, tout de suite, y’a ce putain d’insolent qui est à moitié en train de me grimper dessus, ses mains sous ma chemise, et ses murmures incendiaires qui ne manquent pas de me faire bander. Il est temps de prendre la situation « en main ». Tant pis pour tout, tant pis pour ce qu’il pourrait advenir : il me rend fou, et je me sens dans le besoin immédiat de le punir à ma façon.
Mes mollets percutent doucement le rebord du lit. Je me contracte, attrapant les poignets de Carter pour retirer ses mains de ma peau cuivrée.
« T’as faim, hein ? »
Mon comportement change du tout au tout. C’est un autre Juan qui apparaît peu à peu, et il le connaît bien, celui là. Je crois même que c’est celui qu’il préfère. Le Juan dominant, celui qui ordonne, celui qui mène… Après tout, Carter et Shanna ne sont pas si différents… Du moins en ce qui concerne le sexe : ils sont soumis tous les deux et aiment qu’on les malmènent un peu. Alors pour le coup, je serre ses deux poignets, les emmenant peu à peu vers le sol :
« Mets toi à genoux. Tu la veux, je vais te la donner. »
Je relâche doucement ses poignets, et sans le quitter de mon regard sombre, je viens tout d’abord retirer ma chemise que je balance sur le lit. Puis je m’occupe de défaire ma ceinture. L’objet va m’être utile… Parce qu’une fois qu’il a obéit, je m’accroupis doucement pour lui faire face, un petit sourire au coin des lèvres :
« Donnes tes mains. »
J’entoure ses poignets de ma ceinture. Je serre assez fort pour qu’il ne puisse s’en défaire. C’est parfait. Je me redresse, et, le surplombant de mon mètre quatre vingt quinze, je défait alors le bouton de mon jean, et fais descendre ma braguette. Ni une ni deux, je me sépare de mon fut’. Me voilà en boxer devant sa petite gueule affamée. Son regard est une ôde au pêché. J’ai envie de lui baiser la bouche. Mais avant… Je vais un peu jouer avec lui. Inversons les rôles, c’est moi qui commande. J’attrape la ceinture sur ses poignets d’un geste vif et tire dessus pour le relever. Et puis un demi tour suffit pour que je le fasse tomber sur le lit, sur le dos.
« Tu bouges pas, et surtout, tu fermes ta gueule. »
Son côté gamin turbulent me rend dingue. Je constate cependant que mon jeu semble faire son petit effet parce que ça grossit à vue d’œil, sous son jean, et qu’en plus de ça, il semble nettement plus obéissant que tout à l’heure. Dans les secondes qui suivent, je viens couvrir son corps du mien, me mettant au dessus de lui, frottant légèrement mon bassin contre le sien. Un mouvement de main vif plus tard, et je relève son t-shirt le long de son torse pour couvrir son visage avec le tissus noir. Comme ça, il ne voit plus rien. Et me voilà parti à l’ascension de sa peau claire, du bout de la langue, descendant lentement jusqu’à l’orée d’une ceinture pour le moment bien bouclée… Et qui fini par sauter elle aussi. Tout comme les boutons du jean et la braguette. Je descends le pantalon le long de ses jambes, et je le sens s’agiter comme une petite pucelle…
« Bouges pas, j’ai dis. »
Une fois le fut’ retiré, je remonte le long de son corps encore un peu juvénile, et nos bassins reviennent s’entrechoquer doucement, alors que je me caresse contre lui, venant embrasser ses lèvres par dessus le t-shirt :
« Alors dis moi, Carter… Tu la veux encore ? »
J’ai envie qu’il me supplie. Qu’il en gémisse de désir comme une petite catin. Je veux qu’il rampe. Et seulement à ce moment là, je le délivrerais de toute cette tension.
Sujet: Re: A quoi ça sert d'avoir une famille si on peut pas la mettre a profit ? /Juan /HOT/ - Lun 30 Nov - 16:08
Juan & Carter
❛On fait dans l'originalité : le meilleur moyen de résister à la tentation c'est d'y céder.❜
C'est vrai qu'il abusait, à torts et à travers. Il profitait de chaque seconde, chaque moment où il pouvait sauter sur Juan pour le convaincre. Parce que bon, il était encore réticent, et tellement "hétéro" qu'il fallait donner de son corps pour qu'il puisse céder. Enfin... Un hétéro pur jus ne céderai pas aux avances d'un pourtant joli cul comme celui de Carter. A moins qu'il aie le pouvoir de convertir... Mais lui, contrairement à Juan, ne se posait aucune questions. Pas de culpabilité, juste de l'envie. Il voulait simplement se faire plaisir. Il ne pensait ni à sa soeur, ni au couple qu'elle formait avec le latino, ni aux conséquences que ça pouvait avoir... Comme toujours, il n'en faisait qu'à sa tête, et il ne rêvait que d'une chose ; s'envoyer en l'air avec lui. C'était comme une obsession, et étonnement, ce n'était pas passé après leur première fois. Au contraire, son envie s'était accentuée, on aurait dit une drogue. Il avait besoin de Juan, son corps le réclamait en permanence. Il était prêt à refuser une soirée entourée de beaux mecs si ça tombait un jour où il pouvait être seul avec le brun. Oui oui. Complètement obsédé.
Peu à peu, ses mains collées sur son corps, il sentait qu'il cédait, rien que dans son regard. Celui de Carter en disait long, il pouvait lire dans ses prunelles à quel point son désir était puissant. Son mordillement de lèvre, lui aussi, était plus qu'explicite. Il le voulait, ici et maintenant, même si une trentaine de personne de la famille était en bas, dont sa soeur. La porte était fermée, mais malgré tout il y avait des risques que quelqu'un rentre... Mais pour le coup, il en avait rien à foutre. Il ne pensait qu'à lui, comme toujours. Il craquait, il le sentait, il n'avait plus grand chose à faire avant de réveiller le Juan caliente qu'il aimait tant.
Alors qu'il le faisait reculer jusqu'au lit, c'est quand ses jambes heurtèrent le pied de celui-ci qu'il vit s'éveiller ce regard qu'il attendait ; celui de la bestialité, qu'il venait d'allumer dans ses yeux, et qu'il n'allait cesser d'animer. Ses mains quittèrent sa peau hâlée, attrapées par Juan au niveau des poignets. Son regard se planta dans le sien, il savait que cette fois il n'allait pas le repousser. Il avait gagné cette bataille, de nouveau... L'air intéressé, il haussa un sourcil, quand il lui demanda si il avait faim. Un peu, oui... Comme toujours. Il ne répondit pas, se contentant de lui adresser un petit sourire en coin très explicite, en se léchant la lèvre supérieure.
« J'suis pas l'seul visiblement... »
Il sentit subitement ses poignets être ramenés vers le sol, le brun lui demandant de s'agenouiller. Même si il aurait pu refuser juste pour la provocation, la force de l'homme l'entraîna à le faire, et il se retrouva genoux à terre, en face de lui. Il levait les yeux, l'observant se délester de sa chemise, gardant ses mains à moitié levées. Son corps... Son corps était un don de dieu, bon sang. Carter avait le bas-ventre qui le taquinait rien qu'à le voir se déshabiller. Quand il descendit ses mains au niveau de sa ceinture pour enlever son pantalon, il fut tenté de s'approcher, juste pour toucher du bout des lèvres cette forme qui commençait à pointer le bout de son nez à travers le boxer et son pantalon. Mais il lui ordonna vite de lui tendre ses mains. Il resta silencieux, et beaucoup plus docile qu'il y a quelques minutes, et lui tendit, poignets collés. Son excitation commençait à le rendre fou. Il était de nouveau tenté de toucher, mais il savait que les représailles -pourtant attendues- auraient lieu si il le faisait. De toute manière, il n'eut pas le temps. Ses poignets furent vite entourés et attaché de la ceinture de cuir. Il ne put s'empêcher de laisser s'échapper un soupir en sentant le cuir mordre la peau de ses poignets et le soulever pour qu'il se lève.
« Hng ! »
Subitement, avec sa force, Juan l'avait projeté sur le lit, sur le dos, les mains liées à l'avant. Pour être plus à l'aise, il leva ses bras, gardant ses mains liées au dessus de sa tête. Même ainsi, son corps avec une cambrure indécente, le torse un peu bombé, et l'arrière-train mis en valeur. Il ne quittait pas Juan du regard, et lui obéissait au doigt et à l'oeil. Il était désormais totalement en érection, sous ses couches de tissu. C'en était presque douloureux.
Il vint se poser au dessus de lui. Leurs peaux qui s'effleuraient lui donnait des frissons. Il avait la chair de poule, rien que d'imaginer son corps contre le sien, et toutes les choses qu'il pouvait faire avec... Son souffle commençait à s'accélérer à cause de l'excitation. Il se mordit de nouveau la lèvre inférieure. Il avait ce petit air indécent, provocateur dans le regard, cette étincelle qui en demandait toujours plus. Ce frottement de bassin contre le sien l'affola, et il se cambra automatiquement.
« Hn ! Putain... »
Il était à fleur de peau tellement il était excité. Son corps le guidait, et non pas l'inverse. Soudainement, la vue lui fit enlevée. Juan replia son t-shirt sur le visage, lui cachant toute vision. C'était à la fois excitant, et très frustrant, de ne pas pouvoir voir ce qu'il faisait. C'est quand il sentit sa langue traverser son corps qu'il se cambra de nouveau, poussant un long soupir d'envie. Le désir le bouffait, littéralement. Il sentit sa bouche passer le long de son torse, entre ses pectoraux, ses côtes, pour arriver jusqu'à son bas-ventre. Il défit sa ceinture, puis son pantalon. Il agitait ses jambes légèrement, la peau de celles-ci étant picorée par la chair de poule. Ce mec le rendait fou. Il avait un pouvoir de dingue sur lui, jamais aucun mec ne lui avait fait autant d'effet. Il pouvait claquer des doigts, et tout était possible.
Il remonta à son niveau, et il pu sentir ses lèvres à travers le tissu. Bon dieu, il les voulait ses lèvres. C'était frustrant de ne pouvoir les mordiller, les lécher, les embrasser... Son membre lui faisait mal, à travers son boxer déformé. Un peu de pré-sperme s'était déjà formé au bout de son gland, mouillant à un endroit précis le haut de son boxer. Il jouait avec lui, il voulait qu'il le supplie... Et il n'allait pas le provoquer plus, parce qu'il en avait envie. Plus qu'envie.
« Oui j'la veux... »
Son corps ondula concrètement, à la recherche de son bassin, une de ses jambes venant se replier autour de son flan. Ses soupirs devenaient obscènes.
« Merde, Juan... Hn... »
Ses tétons pointaient ouvertement, étant mis en valeur par la légère cambrure de son corps. Il n'en pouvait plus.