david ft caterina

« Comme tu voudras, c'est très simple ». Je riais doucement, le fait de pas savoir m’énervait mais dans le bon sens du terme, moi qui en général savait tout, le fait de rien savoir me frustrait. Je répondis en un sourire charmeur avant que le médecin ne l’interpelle, je saluais l’homme en question mais traçait ma route jusqu’au vestiaires afin de mettre ma tenue. « Faut qu'on fasse gaffe ». Je regardais David étonnée, à ce qu’il me semble, on étaient arrivés ensemble et non en train de se sauter dessus sur la porte coulissante de l’hôpital. Au moment où j’allais répondre, il m’attrapait par mon t-shirt et je fus tirer vers la douche avant qu’il ne ferme la porte. « On doit faire gaffe hein ? Tu respectes beaucoup la règle à ce que je vois ». Dis-je en posant mes lèvres sur les siennes, un jour on allaient se faire prendre, c’était certain mais au pire, on le tente. Je l’embrassais alors doucement en souriant contre ses lèvres tandis que ma main glissait sensuellement sous son haut avant de lâcher ces lèvres. « Un jour, on sera cuit ». Affirmais-je en souriant reprenant possession de ses lèvres et de l’embrasser plus fougueusement caressant son torse du bout des doigts.  

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« Je suis sérieux.. Vraiment.. ». J’avais bien envie de rire mais je me retenais car ça casserait tout. J’étais plaquée contre le mur et le jet d’eau se mit en route, je sursautais en lâchant un cri de stupéfaction quand je remarquais que l’eau était froide. Néanmoins, ça n’arrêtait en rien puisque son entre jambe était collé au mien et ses lèvres vers mon cou, je penchais la tête savourant ce moment tout en ressentant un frisson qui parcourait tout mon corps. Nous n’étions pas sérieux du tout. « Tu as raison, on sera cuit un jour.. Tu vas finir par me trouver toi je te le dis ». Je souriais doucement tout en caressant son torse du bout des doigts les faisant glisser sensuellement de haut en bas faisant des traits invisible avant de descendre ma main vers son boxer en tirant sur l’élastique tout en relevant son visage pour lui mordre la lèvre doucement avant de plonger ma main dans son boxer afin d’aller caresser son entre-jambe doucement tout en glissant mes lèvres au creux de son cou et de remonter vers le lobe de son oreille que je mordillais doucement tout en plaquant ma poitrine contre son torse. « Je t’avais dit que je finirais par trouver, c’est qu’une question de temps ». Dis-je en le regardant quelques secondes avant de caresser de mon autre main sa clavicule et de passer dans son dos en faisant glisser mon doigt le long de sa colonne vertébrale et toujours de façon sensuelle.

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« Tu as raison, tu as fini par me trouver, moi tout entier et à toi simplement ». J’étais ravis, ce qu’il venait de me dire me fit plaisir. D’un autre côté heureusement que c’était à moi simplement, sinon j’aurais sûrement pété un câble. Le désir montait tout comme l’envie de lui et on prenaient le temps de se chercher avant qu’il ne m’embrasse partout, je soupirais de plaisir tout en savourant ce moment avant qu’on ne se stoppe puisque des internes venaient d’arriver. Je riais quand il mit sa main sur ma bouche et descendait afin de toucher le carrelage de la douche, me déshabillant presque entièrement devant lui avant de m’abaisser à son niveau et de baisser son pantalon ainsi que son boxer et de prendre son sexe en bouche tout en jouant avec ma langue sur son gland. Je caressais alors son torse par la même occasion, je devais pas faire de bruit et c’était ce que je faisais.

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Je savais très bien qu’on jouaient à un jeu dangereux mais c’était plus fort que moi puis fallait que je le fasse sauf qu’il me disait de me stopper, bien sûr je faisais celle qui avait rien entendu tout en ayant une oreille tendu vers les vestiaires puisque les internes étaient encore là. Sans attendre, il me relevait avant de baisser mon short et ce qui avait avec en me plaquant de plus bel contre le mur avant de me pénétrer assez fort, un cri de surprise sortit de ma bouche en lui faisant les gros yeux à mon tour tout en plongeant mon visage au creux de son cou pour aller le mordre doucement et pour retenir mes cris de plaisir suite au plaisir qu’il me procurait. Ça faisait du bien je devais avouer, puis ça motivait à travailler de faire l’amour dès le matin. Je l’obligeais à continuer, c’était trop bon pour qu’il s’arrête maintenant, je plantais par la suite mes ongles dans son dos tout en soufflant de plaisir doucement pour essayer d’être discrète mais je savais qu’un jour, les gens le sauront mais je m’en foutais un peu d’un côté même si en ce moment on avaient du mal à être professionnelle tout en étant privé.

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Rien que de savoir que les internes pouvaient nous entendre m’excitait au plus haut point, l’eau qui coulait sur nous jouait beaucoup aussi et je ne pouvais retenir mes souffles qui se faisaient de plus en plus et en accélérait. « Tu veux que j’y aille plus fort ? ». Je souriais doucement, acquiesçant d’un oui de la tête. J’en profitais pour l’embrasser amoureusement et fougueusement en même temps tout en resserrant mes jambes autour de ses hanches avant de passer une main dans ses cheveux mouillés tandis qu’il attrapait le shampoing afin de m’en mettre, je mordillais sa lèvre en la tirant vers moi tout en exprimant mon plaisir en jouissant jusqu’à temps que les internes partaient tous en même temps. Je ne pouvais me retenir et lâchait ma jouissance en la criant profitant qu’il n’y avait personnes.

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L’accélération se faisait assez rapidement et je dois dire que c’était agréable et bon. Ma respiration s’accélérait et ma cage thoracique se bombait. Les dernières minutes était parfaite et arrivé à l’orgasme, je dus exprimer ma jouissance, mon corps tout entier explosait, j’étais essoufflée mais ça allait encore. Franchement, là je pourrais aller travailler sans problèmes, j’étais motivée et en pleine forme. Deux sport en quelques heures de temps, le pied intégral. Il me reposait par terre et se retirait, ça faisait bizarre mais lorsqu’il frottait mon sexe doucement, je riais nerveusement. « Ça va toi ? ». Je déposais un tendre baiser sur ses lèvres avant de lui sourire. « Très bien, et toi ? ». Demandais-je tout en sortant de la douche et me ressuyer avant d’enfiler ma blouse et de le regarder. « Tu viens de me motiver pour toute la journée là ». Dis-je en fermant les boutons de ma blouse.

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« Franchement ? Ça va. Par contre toi, tu t'es lâchée comme un lion ». J’explosais de rire observant son corps dans le détail et poser ma main sur ma bouche, c’était un vrai désastre et c’était moi qui avait fait ça. Il était arrangé et ça allait être marrant. « Maintenant comment je fais pour ça ? ». J’haussais les épaules en souriant, moi et les bonnes idées, ça faisait deux et étant un homme, c’était trois fois plus difficile puisqu’il ne pouvait pas le cacher avec une écharpe ou un truc du genre. « Arrête de râler, t'es pas beau quand tu râle ». Dis-je le plus naturellement possible finissant de me préparer et en passant ma main sur sa joue en lui souriant. Cheveux attaché, je m’avançais avant qu’il ne m’embrasse le nez ainsi que mes lèvres, je pourrais l’embrasser toute la journée. Avant que je ne sorte, celui-ci tapait mes fesses d’une claque assez forte et je me retournais spontanément. « Aie ». Dis-je en riant, frottant ma fesse avant qu’il ne parte vers l’ascenseur et je suivais derrière jusqu’à entrer à l’intérieur et de monter au premier étage. « Ca se voit pas tes marques, juste un peu ». Dis-je en mettant mes doigts en parallèle avant de les ouvrir légèrement pour faire le geste « un tout petit peu ».

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Il était arrangé, c’était ma faute mais je m’excusais pas parce que c’était de sa faute aussi puisque c’était lui qui mené la cadence lors de notre rapport assez torride je devais avouer. Nous étions dans l’ascenseur et arrivé à l’étage, on allaient dans une chambre. « Bonjour Monsieur Gallagher, vous vous souvenez de moi ? Dr. Woodsen, voici l'infirmière Antonelli qui nous accompagner durant la semaine ». J’adressais un sourire à la personne avant d’hocher la tête. « Bonjour Monsieur ». Lançais-je en regardant David faire. Le métier avait trois adjectifs bien sérieux à respecter : politesse, souriante et polyvalente. C’était le plus important dans ce métier. « Qu'est-ce-qu'elle est mignonne l'infirmière, je suis chanceux ! ». Je lâchais un léger rire nerveux avant de répondre au sourire de David en lui adressant un clin d’œil discret. « Merci Monsieur Gallagher ». Dis-je en souriant avant d'attraper le dossier et de marquer l'heure à laquelle on étaient arrivés. « Qu'est-ce que tu va faire comme soin ? ». Demandais-je en regardant David.

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