Par la suite, nous étions dans la chambre d'un patient, Mr. Gallagher. Caterina me faisait petit clin d'oeil assez discret, je souriais car je me sentais heureux. Elle nota l'heure à laquelle on était arrivé, et regarda rapidement son dossier, ce que je fis aussi. Mais je connaissais déjà ce cas. _ Monsieur Gallagher, âgé de 67 ans, a eu trois crises cardiaques ces 4 dernières années, son coeur devenant étant fragile, et nous allons lui posé un pacemaker afin que son coeur refonctionne à l'aide d'une machine Mlle Antonelli, il suffira juste de changer la perfusion et de surveiller ses constances à l'écran. Vous avez des questions Mr. Gallagher ? Dis-je en sortant mon stylo de ma petite poche de la blouse, puis notant les constances sur le tableau du bloc-note. _ Juste une, si seulement cette jolie infirmière me change la perfusion. Je levais la tête avec un léger rire, j'acquiesce de tête "oui". Nous étions sérieux dans notre travail, et c'était tout ce qu'il fallait, nous devions se faire le plus discret que possible afin de respecter les consignes. _ Faites donc Mlle Antonelli. En lui adressant un sourire, je restais dans la pièce pour surveiller l'état du patient, et voir comment Caterina s'en sortait.  

Nous étions dans la chambre d'un patient, et nous mettions également aussi à jour son dossier, il était là pour une chirurgie, pour se mettre un pacemaker. Caterina changea sa perfusion, et le metta confortablement pendant que je prenais les constances de ce monsieur. Je remarqua quelque chose, et je me tu. Je regarda Caterina faire pendant quelques minutes en souriant. _ Merci bien jeune demoiselle, jeune homme dites moi ? Vous êtes amoureux de mademoiselle si je peux me permettre ? Je leva ma tête du bloc-note du bord, surpris. Il avait du surement voir que mon regard ne passait pas inaperçue envers Caterina, un regard protecteur que je posais sur elle, mais j'imaginais aussi beaucoup de choses. Mais le secret devait y rester. _ Cela doit rester secret Mr. Gallagher, ce que nous entretenions Mlle Antonelli et moi, reste en dehors de l'hopital, mais sinon, oui, pour vous répondre, et je vous promet que cela ne me perturbera pas si tel est votre question. Dis-je en le rassurant, et en souriant, parfois les patients pouvaient se retirés, et parce que soit on était trop maladroits, soit on étaient froids. ._ Dr Woodsen, si je peux me permettre, vous êtes tellement jeune, et moi vieux.. j'étais tellement travailleur, comme vous.. profitez-en avant que votre heure arrive, l'amour est quelque chose où on fait de la sorte que ces moments soit des bons souvenirs, mais aussi être à ses côtés Dit-il, je l'écoutais, tandis que moi, je me rendis compte que je n'avais jamais inviter Caterina à diner, d'aller voir un film, d'aller se promener. _ Vous avez raison, et je vais m'y mettre tout de suite. Dis-je en souriant, et fit un clin d'oeil à Caterina, il était vrai que les conseils d'un patient pouvaient s'avérer utiles. Je partis en le remerciant et serrant la main, et avança vers le bureau avec Caterina. _ Dit, tu n'as pas remarqué ses constances ? Il y a quelque chose qui ne va pas .. Dis-je en pointant mon stylo, regardant les notes, je réfléchissais..

Après avoir quitter la chambre du patient, j'avais dis à Caterina que quelque chose clochait avec ses constantes. Je l'écoutais, mais sans réellement écouter, j'étais dans ma bulle. Je poussa un cri d'étonnement, et je regarda le patient à travers la vitre. Je ne comprenais pas pourquoi il avait juste besoin d'un pacemaker avec des constantes pareil. _ Dit au supérieur d'annuler l'opération et de regarder les constantes, surtout celle des fréquences, il lui faut une valve cardiaque. S'il te plaît? Dis-je tout doucement, je pourrais très bien me trompé, mais si il avait accumuler toutes les opérations ces dernières années et que maintenant il lui faut un pacemaker. Ça m'étonnait. _ En réalité, il a eu 4 crises cardiaques, mais étant donné son âge, et son coeur devenu trop fragile, il ne pourra pas supporter le pacemaker, il lui faut mieux que ça. Dis-je en expliquant, je signa le dossier et le donna à Caterina en souriant, ce patient m'inquiétait, je m'inquiétais pour les patients en réalité, car c'était mon boulot de sauver les vies.